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Votre maison existait-elle en 1848

Voici la page D 1ère feuille : le Pavillon avec son moulin qui a disparu et son étang qui s’est asséché, le Haut Quétel, le Glajolet, le Vaucorbin, la Ville es Roullé et la Ville es Gicquiaux

A noter : la route qui reliait Uzel au bourg de Gausson traversait le Haut Quétel. Elle était dangereuse avec ses deux côtes abruptes et ses deux descentes rapides séparées par un ruisseau. En 1860, le Conseil municipal décide de contourner les deux hameaux du Haut Quétel et du Pavillon.
La première partie de la « vieille route » dessert encore le Haut Quétel, l’autre partie qui traversait la forêt de l’Hermitage est envahie par les ronces depuis les années 1980.

Je connais bien le Haut Quétel. De nombreuses maisons (faites en terre) ont disparu. Ma grand-mère est née dans l’une d’elle. Elle a été placée à 8 ans au « château », comme bonne à tout faire. Elle y a vécu toute sa vie et a pu y finir ses jours, mes parents ayant acheté le « château » en 1961, au décès de Monsieur Du Portal, propriétaire de plusieurs fermes au Haut Quétel, à la Ville es Roullé et à Allineuc. Il était l’héritier de Louis François Marjot, notaire et procureur, puis Commissaire du Directoire du canton de Plémy pendant la Révolution qui avait acheté ces biens (dits nationaux) confisqués à l’église et aux familles nobles en 1793. (voir page 43 du livre « Gausson au fil du temps »)

A suivre…

(archives 22)

Votre maison existait-elle en 1848

Voilà la page C 3^ème feuille : Bossiguel, les champs Hervé, le Mottay, le Pélican, les Clôtures (pas facile de s’y rendre à cette époque !)

A suivre…

(archives 22)

Votre maison existait-elle en 1848

Voilà la page C  / 2^ème et 4^ème feuilles : la Guimondaie, la Gaubichaie, la Béchaie, le Chauchix,  Kercarantel, la Riandière, une partie du Vau Garnier, Le Mottais, la métairie de Bossiguel.
On note que trois hameaux ont disparu depuis 1848 : la Tanière (située à l’entrée de Bossiguel), le Pélican (trois petites maisons situées à l’est des Champs Hervé), les Côtières (hameau devenu l’Epine ?)
L’étang de Kercarantel a été asséché et son moulin a disparu.
A la Gaubichaie, l’ensemble de bâtiments appartenant à la famille de Navarre a également disparu.

A suivre…

(archives 22)

Votre maison existait-elle en 1848

Voilà la page C 1^ère feuille : Le moulin Dolo, le Tertre, la Riandière, le Vaugarnier, le Piry, le Breil (d’en bas et d’en haut)

A suivre…

(archives 22)

Votre maison existait-elle en 1848

Voilà la page B 3^ème feuille : le Bourg, la Débrairie, les Landelles, la Camelère, la Lohanière

A suivre…

(archives 22)

Votre maison existait-elle en 1848

Voilà la page B  - 1^ère  et 2 ^ème feuilles :
-  la Ville es Maîtres (côté nord), la Touche, la Ville es Rio, la Croix rouge
- Roselier, Caupé, Beauregard, le moulin du Cran, la Ville es Maîtres (côté sud)

A suivre…

(archives 22)

Votre maison existait-elle en 1848

Voilà la page A 2^ème et 3^ème  feuilles  Raisy, Launay Jall, Helnault, Le Moulin de Bertrand

Et en 1825 ?

A suivre…

(archives 22)

Votre maison existait-elle en 1848

Voilà la page A 1^ère feuille : La Deute, la Mare, Helnault, La ville Houée, La Jubinière

A suivre…

Le nombre de décès pendant la première guerre mondiale incite les communes à ériger des monuments pour honorer tous ses hommes qui sont morts au combat pour défendre la France.

La décision est prise à Gausson en 1921. La municipalité fait établir un devis. Il se monte à 12 124 francs, ce qui équivaut à un peu plus de 13 000 € de 2020, gravure comprise. Il faut y ajouter le transport depuis Langourla.  La commune propose de fournir le mortier et autres matériaux, ainsi que la main-oeuvre pour l'installation du monument. Le chantier doit être fait pour le printemps 1922, après approbation par la Préfecture. En effet, les monuments étaient subventionnés par l'Etat. Ils pouvaient aussi faire l'objet d'une souscription publique. Elle sera de 4200 F à Gausson.

La Préfecture, sans doute débordée par le nombre de projets, ne donnera son accord que le 15 juin 1922 et, le temps de débloquer les fonds, le monument sera inauguré le 29 avril 1923.
Il aura coûté 15327,95 F (coût du monument, transport, pose et inauguration), soit plus de 17 000€.

86 noms y sont inscrits pour la guerre de 14/18, S'y ajouteront les 6 morts de la seconde guerre mondiale et celui de la guerre d'Indochine.

Pour plus de détails sur les soldats morts pendant ces trois guerres, consultez la page « Morts aux guerres » de généawiki : cliquez ici